Poèmes de Noël

Si vous êtes à la recherche d'un court poème de Noël, ce poème a pour but l'évocation du désir universel de paix et de sérénité. Vive l'amour, vive la paix, vive Noël :

Que la paix règne dans ton foyer,
comme les étoiles qui savent briller.
Que les rires remplacent la peur,
et que la chaleur enveloppe ton cœur.
Que tout fleurisse à Noël,
et que la nouvelle année soit belle.

S'il est une chose qui caractérise Noël, c'est bien sa magie. Voici un court poème pour Noël dans lequel on met en valeur cette importante caractéristique :

La magie de Noël se vit dans les étreintes,
dans les mots doux et sans crainte.
Un arbre décoré, un enfant qui sourit,
l'essence de la vie et de l'esprit.
Que cette année soit une renaissance
et que chaque jour rime avec abondance.

Que serait Noël sans ses décorations typiques ? Ce poème se concentre sur le symbolisme de l'arbre de Noël, en tant que lieu où les rêves et les espoirs se rencontrent et où nous déposons nos cadeaux tant attendus :

Sous le sapin brille un désir sincère,
d'un futur joyeux et d'un monde prospère.
Chaque sphère est un cœur,
qui attend en silence son bonheur.
Qu'à Noël tous tes désirs s'accomplissent,
et que l'amour jamais ne dépérisse.

Découvrez pourquoi on met un sapin à Noël !

Inspiré par l'étoile de Bethléem qui a guidé les Rois mages vers la crèche tant attendue, ce poème nous rappelle que la lumière peut nous guider même dans les moments les plus sombres :

Une étoile dans le ciel nous montre le chemin,
comme un phare annonçant le destin divin.
Qu'à Noël vous trouviez votre direction,
et que la lumière vous enveloppe de sa bénédiction.
Que chaque jour brille d'un espoir nouveau,
et que votre cœur soit votre héro.

Si vous avez envie d'un poème de Noël dans lequel on parle des cloches, c'est par ici :

Sonnent les cloches de l'alégresse,
Noël est arrivé, enchanteresse.
Les voix s'élèvent et les chants sont sincères,
remplis d'amour et de lumière.
Que Noël rime avec tendresse,
et que la nouvelle année soit pleine de sagesse.

Le grand Victor Hugo a aussi marqué de sa plume les fêtes de fin d'année.

Je veille...

Je veille. Ne crains rien.
J'attends que tu t'endormes.
Les anges sur ton front viendront poser leurs bouches.
Je ne veux pas sur toi d'un rêve ayant des formes
Farouches.
Je veux qu'en te voyant là, ta main dans la mienne,
Le vent change son bruit d'orage en bruit de lyre.
Et que sur ton sommeil la sinistre nuit vienne
Sourire.
Le poète est penché sur les berceaux qui tremblent ;
Il leur parle, il leur dit tout bas de tendres choses,
Il est leur amoureux, et ses chansons ressemblent
Aux roses.

Victor Hugo

L'art d'être grand-père (1877)

Voici un petit poème qui met l'accent sur les choses vraiment importantes à Noël, nos proches :

Le meilleur cadeau ne vient pas emballé,
il n'est ni coûteux ni grimé.
C'est une étreinte sincère, pleine d'amour,
qui caresse l'âme et allège nos jours.
Puissiez-vous recevoir et donner à Noël,
la chaleur d'un câlin éternel.

Un poème qui réfléchit à la fin d'une année et au début d'une nouvelle, pleine de possibilités :

Une année qui meurt nous laisse des leçons,
des rires, des pleurs et des milliers d'émotions.
Noël arrive pour nous rappeler,
que l'on doit toujours se réinventer.
Que la nouvelle année apporte ses nouvelles histoires,
et que vous n'arrêtiez pas d'y croire.

Avec une approche plus spirituelle, ce poème nous relie à la naissance de Jésus et au message d'amour qu'il a apporté au monde et que nous voulons reproduire à chaque Noël :

Dans une humble crèche est né l'espoir,
un petit enfant que le monde a choisi de croire.
Qui a apporté paix et rédemption,
et a rempli les cœurs de sa compassion.
Qu'à Noël on se rappelle de sa voix,
et qu'on porte son message comme une croix.

Concluons avec un poème de Noël connu et reconnu :

Le ciel est noir, la terre est blanche ;
– Cloches, carillonnez gaîment ! –
Jésus est né ; – la Vierge penche
Sur lui son visage charmant.

Pas de courtines festonnées
Pour préserver l’enfant du froid ;
Rien que les toiles d’araignées
Qui pendent des poutres du toit.

Il tremble sur la paille fraîche,
Ce cher petit enfant Jésus,
Et pour l’échauffer dans sa crèche
L’âne et le boeuf soufflent dessus.

La neige au chaume coud ses franges,
Mais sur le toit s’ouvre le ciel
Et, tout en blanc, le choeur des anges
Chante aux bergers : » Noël ! Noël ! »

Théophile Gautier

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